MEAUX - Château-Thierry (Région) - PARIS
MEAUX - Château-Thierry (Région) - PARIS
Bilan vocal, Cours de Chant (recherche physiologique),
Stages privés et collectifs, Formations Professionnelles
À DOMICILE (Sauf Paris), EN STUDIO PAR VISIOCONFÉRENCE
Du Débutant amateur au professionnel en difficultés
PRESTATAIRE indépendant DE FORMATION PROFESSIONNELLE
Déclaration Préfecture de Région ILE-DE-FRANCE N°11770687577 attribué sur dossier professionnel complet.
Ne vaut pas agrément de l'Etat. Devis/Facture, Contrat de Formation Professionnelle, Convention (Art. L.6313-3 et suiv. du CT)
(Demandes de financement notamment auprès de l'AFDAS et FIFPL)
Francis POULENC - La voix humaine (Extraits)
Graziella GONZALEZ (Chant)
Richard ANDERSON (Piano)
CHANT PHYSIOLOGIQUE (I)
27/06/2012, réactualisé en juillet 2023
Le chant, art noble entre tous, suscite passion mais aussi, et en toute bonne foi, empirisme démesuré… malheureusement souvent fatal aux apprentis chanteurs, amateurs ou futurs professionnels.
Ce que dès 2007, Graziella GONZALEZ a développé dans le « Chant physiologique », et qui est le résultat de son parcours atypique de chanteuse (ayant eu également affaire à de grands noms du chant français…), de ses recherches et de ses observations personnelles en tant que Conseiller vocal, ayant de surcroît fréquenté de nombreux studios où se donnent des cours….
Pendant ses cours et stages, Graziella Gonzalez imite ce que fait le chanteur, pourquoi et comment corriger "mettant sa voix en péril" (commentaire d'Elena Surina, pianiste- Chef de chant, diplômée du Collège Musical Chostakovitch de Kurgan (Russie) et du Conservatoire de Strasbourg), montre l’exemple en permanence, fait sentir, entendre les différences : elle n’hésite pas lors des stages « longs », à proposer aux stagiaires d’assister à son travail personnel.
« Lorsque vous faites vos recherches, si vos conclusions expérimentales et thérapeutiques sont d'accord avec celles de vos prédécesseurs en la même question, rien ne dit que vous soyez dans le bon chemin, mais rien ne dit non plus que vous ayez tort. Si, au contraire, vos conclusions apparaissent diamétralement opposées à celles de vos devanciers, rien ne dit que vous ayez tort et peut-être même y a-t-il de grandes chances pour que vous soyez dans le bon chemin. De toute manière, persévérez ». (Professeur d’Arsonval)
Graziella GONZALEZ, vilipendée par certains Collègues se targuant d'avoir " pignon sur rue dans le XVIIème" (comme si cela était un critère de qualité !) et d'être "détenteur du CAP", traitée en 2012, suite à ses premières annonces de stages, d' « arnaqueuse », de « profiter de l'ignorance des élèves chanteurs pour se faire de l'argent sur leur dos », a donc recherché et trouvé certains ouvrages dans la bibliothèque de son professeur dont notamment, « Les bases physiologiques du Chant » du Docteur René Grain, Oto-Rhino-Laryngologiste de la Maison Départementale de Nanterre et Ancien Interne de l’Hôpital Prince Albert de Monaco, que son professeur avait eu l'occasion de rencontrer, qui, de façon scientifique, corroborent non seulement ses propos issus de sa longue expérience et de ses propres constatations, mais aussi ses explications et démonstrations techniques lors de ses cours et stages.
Ouvrage qui devrait être la Bible de tout chanteur et surtout, de tout éducateur. Mais attention, cela doit venir conforter les recherches personnelles de l'Enseignant, et non l'inverse : TENTER D'ENSEIGNER A PARTIR DE CET OUVRAGE après une simple lecture et quelques expérimentations personnelles, SERAIT UNE véritable ARNAQUE, pour l'élève de la part du professeur puisqu'il s'aventurerait à enseigner quelque chose qu'il croit connaître, alors que sans le maîtriser : transformant donc l'élève chanteur, en cobaye.
Et pourtant, depuis 2012, ont fleuri moult annonces utilisant subitement le terme "physiologique"' comme argument marketing et présentant ce concept comme étant la base de leur enseignement.
De la même manière que faire une carrière grâce à un organe vocal, parce que l'on a une voix, ne signifie pas que l'on peut et que l'on sait enseigner. D'ailleurs, si tel était le cas, tant de chanteurs laisseraient-ils leur voix se dégrader sans même sans rendre compte (ou n'entendant pas, tant l'ego chez le chanteur peut être un "sur ego"), pour certains, allant jusqu'à la perdre aux alentours de la cinquantaine (voire plus tôt), ou d'autres, changeant même de répertoire ?
La conscience ne devrait-elle pas amener à se dire que, si l'on a perdu sa voix sans s'en apercevoir ou sans être capable de se rééduquer, l'on n'est pas apte à enseigner?
Elle a également retrouvé ses préceptes dans certains ouvrages de chanteurs dont les qualités vocales et techniques sont incontestables et qui ont conservé leur voix bien au-delà de la soixantaine, tel Charles Panzera.
Mais aussi, en grande partie, dans les ouvrages d'Alexis WICART, Oto-Rhino-Laryngologiste de l'Opéra de Paris, dont Graziella GONZALEZ a connu le fils Louis WICART, lui-même Oto-Rhino-Laryngologiste, Cancérologue qui a sauvé sa grand-mère, et qu'elle avait rencontré avec son professeur "inconnu" (voir expériences personnelles), assistant à leur discussion sur les conséquences de l'enseignement du chant en France axé principalement sur cette recherche effrénée du timbre et de la puissance vocale au détriment de l'émission physiologique.
Toutefois, elle a relevé des "anomalies" dans les explications d'Alexis WICART, en contradiction avec René GRAIN, et ses recherches personnelles et démontrées sur ses élèves "sans voix" ou avec voix.
"Anomalies" qui voudraient dire que Charles CAMBON, Mark REIZEN, Alexandre KIPNIS et quelques autres parmi les véritables élites,... n'avaient pas une technique physiologique...
"Anomalies" dont elle ne peut malheureusement discuter ni avec l'auteur ni avec le fils, et qui pourraient induire en erreur le chanteur.
"Anomalies" d'ailleurs également en contradiction avec Mark REIZEN, immense Basse, dans une interview, selon laquelle, d'après Johann LE ROUX, ayant retrouvé la scène après plusieurs années d'interruption pour "raison vocale", l'enseignement de Graziella "est dans la lignée"
Bien évidemment, sans oublier « Mon Art du Chant » de Lili LEHMANN, « la plus grande technicienne qui ait existé » selon Reynaldo HAHN, professeur de Géraldine Farrar et de Germaine Lubin, et cantatrice capable d’assumer un concert malgré une laryngite sans avoir recours au moindre « artifice », mais aussi d’interpréter La Reine de la Nuit, un soir, et Sieglinde, le lendemain!
«Tout ceux qui aspirent à devenir des artistes devraient commencer par l'étude de la production du son, des fonctions du nez, de la langue et du palais, de l'articulation précise et souple de toutes les lettres, principalement des consonnes et ne s'attaquer aux exercices pratiques du chant qu'après ce travail préliminaire »
Cela éviterait peut-être autant de forçage, de déformations faciales, véritables "têtes à massacre", aussi belles que puissent rester certaines voix dans de telles circonstances, parfois de façon surprenante, sachant que personne ne va se vanter des subterfuges utilisés pour se maintenir en forme et pallier la perte de cette voix vers 40 ans, et malheureusement, quelquefois, bien avant !
Il importe toutefois, pour les chanteurs débutants, de ne pas oublier que la « plongée » dans ce type d’ouvrages qui « intellectualise » le chant, peut entraîner une perte du naturel : or, c’est toujours la recherche de la spontanéité vocale qui doit prédominer.
Il en est de même de chanteurs plus avancés qui, parallèlement à une rééducation vocale, et malgré les résultats spectaculaires obtenus et reconnus à l'unanimité, se plongent dans la lecture d'ouvrages, y compris de grands chanteurs, avec des organes vocaux exceptionnels leur permettant certaines "extravagances" techniques, mais non adaptables à .d'autres organes plus "communs" : la perte des acquis commence à se faire imperceptiblement sentir dans les six ou sept mois qui suivent...
Il en est de même, pour ce chanteur, s'il veut, de façon trop précoce, retrouver un répertoire, par exemple, plus aigu, alors que la rééducation vocale n'est pas terminée ou insuffisamment consolidée pendant un certain temps.
La progression n'est quasiment jamais constante, elle se fait par pallier.
Point capital que, comme Graziella ne cesse de le répéter à ses élèves ou stagiaires, le chanteur, si son ego n'est pas trop démesuré, devrait comprendre et surtout, accepter pour progresser.
Autre point capital, l'enregistrement intégral de tous les cours et stages : l'utilisation du micro et, bien évidemment, de la vidéo.
Moyen trouvé "intéressant" et indispensable par le chanteur quand il chante effectivement physiologiquement et que le résultat flatte son ego, et qu'il récuse dès que ce n'est plus le cas, au motif qu'il "s'agit d'un canal de retransmission, donc déformant".
Ce qu'Alexis WICART, non seulement oto-rhino-laryngologue de l'Opéra de Paris, mais ayant également « fait partie des jurys de Conservatoires français et étrangers, des jurys des concours internationaux de Vienne, de Paris à l'exposition 1937, du dernier concours des ténors organisé par Comoedia », rappelle également dans ses ouvrages appelant déjà dans les années 1930/1944, à une réforme de l'enseignement du chant en France :
« Le micro est un fidèle transmetteur des défauts comme des qualités... l'émission normale des sons et des mots ... sous l'appellation "émission physiologique", est la plus aimée du micro comme des auditeurs et la plus qualifiée pour la radiodiffusion, le disque et le film.
De plus, cette amplification équivalente des qualités et des défauts par les différents appareils microphoniques a l'énorme avantage de se prêter à la démonstration précise des défauts comme des qualités, donc de faire accepter les corrections des défauts et les redressements d'émission chez les plus incrédules des élèves ou chanteurs. L'utilisation de ce système est constante à l'Institut vocal universel et elle est d'un grand secours pour l'acquisition du beau chant »
Il reste à tenir compte de cet ego souvent démesuré du chanteur qui s'amplifie au fur et à mesure qu'il avance, et peut l'entraîner à faire l'autruche, et en conséquence, à une mauvaise foi flagrante qui serait cocasse si elle n'avait des conséquences à plus ou moins brève échéance.
Ne pas se "gargariser" de ses progrès, ne pas se reposer sur ses lauriers
FINALEMENT, un grand merci à ces collègues" qui l'ont vilipendée en 2012 et même à certains élèves difficiles à rééduquer, alors qu'ils l'ont été dans un temps record, qui l'ont incitée, encore en 2023, à rechercher si tout ce qu'elle avait constaté par son expérience personnelle et professorale, pouvait être corroboré médicalement.
Il s'avère que l'ensemble des préceptes enseigné depuis de nombreuses années par Graziella GONZALEZ, avec succès, même en cas d'absence "d'organe vocal", est corroboré médicalement par René GRAIN, ORL physiologiste spécialisé dans l'étude de la voix chantée, mais aussi par Alexis WICART, ORL de l'Opéra de Paris, (en grande partie) Charles PANZERA, Lily LEHMAN, et certainement bien d'autres, qui se sont intéressés au fonctionnement physiologique du larynx.