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PRESTATAIRE indépendant  DE FORMATION PROFESSIONNELLE

 Déclaration Préfecture de Région ILE-DE-FRANCE N°11770687577 attribué sur dossier professionnel complet. 

Ne vaut pas agrément de l'Etat. Devis/Facture, Contrat de Formation Professionnelle,  Convention (Art. L.6313-3 et suiv. du CT

(Demandes de financement notamment auprès de l'AFDAS et FIFPL) 

Francis POULENC - La voix humaine (Extraits)

Graziella GONZALEZ (Chant)

Richard ANDERSON
(Piano)

 

ENSEIGNEMENT

DU CHANT PHYSIOLOGIQUE

BILAN VOCAL - COURS -  STAGES INTENSIFS privés et collectifs 

 

du DEBUTANT AU PROFESSIONNEL en difficultés

TOUTES LES ACTIVITES SONT PROPOSEES EN PRESENTIEL ET/OU EN VISIOCONFERENCE

Intégralement enregistrés audio et vidéo

Tous styles, toutes voix

PREAMBULE

Attachant  énormément d’importance à la personnalité émotionnelle du chanteur (dont l'égo est particulièrement développé à partir d'un certain niveau), Graziella GONZALEZ propose une audition informelle, en toute simplicité (morceaux au choix ou vocalises, par coeur ou avec partition), sorte de premier cours afin de permettre à chacun de sonder l’autre y compris sur le plan humain, de voir comment le chanteur réagit aux conseils et comment il participe à l’action.

Sans participation active du chanteur pour rechercher personnellement l’application des clefs qui lui sont proposées et qui lui sont propres, rien n’est possible.

Si un chanteur ressent le besoin d'un avis autre que celui de son professeur, c'est le signe que, plus ou moins consciemment, il perçoit que quelque chose ne va pas ou ne va plus.

Si la confiance ne s'installe pas, ou se perd face à une difficulté nouvelle,  rien n'est possible.

Il arrive que, malgré une "remise en selle" incontestable au point de retrouver le chemin de la scène, et constatée unanimement, le chanteur, à la recherche d'un autre miracle, ou persuadé qu'il sait tout, voire trompé par un conseilleur qui n'est pas un payeur, se montre de mauvaise foi. A partir de ce moment, en toute conscience, Graziella préfère arrêter, d'elle-même, toute collaboration.   

 

Seule, l'humilité nous permet de nous remettre en question, donc de progresser et, en conséquence, de durer dans le temps: pourquoi certains conservent-ils une technique parfaite et nous enchanteront jusqu'à la fin (parfois au-delà de 80 ans), tandis que d'autres, chantent toujours mais ne sont plus que le spectre d'eux-mêmes.... à 50 ans, voire bien avant? 

 

Mais lorsque l'on fait la démarche "d'aller voir ailleurs", parfois, il faut accepter dans un premier temps (plus ou moins long selon les aptitudes de chacun et surtout, les mauvaises attitudes prises antérieurement), d'avoir l'impression de reculer .... voire de ne plus savoir où l'on en est... 


Paris ne s'est pas faite en un jour et l'on dit couramment, qu'il faut quinze ans pour faire une voix..... Charles CAMBON, baryton basse à l'origine, disait que sa voix avait monté d'un demi-ton chaque année - l'on sait l'immense baryton verdien qu'il a été, avant que sa voix ne retourne graduellement à ses origines (tout en continuant à donner des contre-ut à pleine voix (il n'avait pas de fausset), assis devant son piano.

Concernant les débutants

 

Chacun peut voir que sont dissociés "souffle", "posture", "pose de la voix" etc, ou présentés comme une sorte de plan de progression de travail. 

 

Cela fait sans doute savant mais est incohérent puisque le chant est un acte très simple dont la pose de la voix n'est que la conséquence de l'utilisation physiologique donc qualitative, de sa prise d'air, ayant de facto, un effet immédiat sur le fonctionnement physiologique du larynx . 

 

Par contre, chaque chanteur possède un organe vocal avec ses possibilités et ses limites que l'on peut parfois repousser, mais jamais à l'excès.

 

Parfois, au début, n’existent que quelques sons types, c'est-à-dire alliant aisance de diction, pureté du timbre, rondeur …

 

Le travail sur la tessiture (ne pas confondre avec l’ambitus qui est la longueur de la voix) est la base même des futurs aigus et graves.

 

Il ne faut jamais oublier qu’une voix qui n’est pas travaillée de  façon physiologique est, dès le départ, en grand danger, ni que, aussi étrange que cela puisse paraître et contrairement à ce que s’imaginent certains chanteurs, une   voix dite « naturelle » ne fonctionne pas forcément « physiologiquement » ou peut très rapidement ne plus fonctionner parfaitement physiologiquement sans que le chanteur ne s’en aperçoive, avant une dégradation vocale avancée.

 

En fonction de ce qu'elle entend, ressent physiologiquement, Graziella GONZALEZ recherche les clefs qui conviennent au chanteur, parfois perturbé par un mimétisme pernicieux ou des ouvrages écrits par des chanteurs qui décrivent ce qui leur correspondait, mais qui ne va pas forcément convenir à tous Par un travail minutieux et en complicité totale avec lui, elle « piste » cette vérité qui lui est propre.

 

La voix évoluera alors sans aucune « ficelle », en seule fonction de ses possibilités dont on peut quelquefois améliorer les limites. Elle pourra gagner en étendue dans tous les sens, en souplesse, en timbre, en rondeur, mais aussi en puissance en rapport avec les possibilités physiologiques du chanteur (ou élève) puisqu’il n’y aura plus aucune entrave.

 

Il n’est pas toujours possible de « classer » immédiatement une voix. Il faut apprendre à accepter de la découvrir, à avoir de la patience et à oser faire part de ses craintes, mais toujours en étant de bonne foi.

 

Concernant les étudiants chanteurs plus avancés

 

Très souvent, à l’étudiant qui, pendant le cours, se plaint de ressentir une gêne (brûlure au niveau du larynx, petites tensions ou douleurs passagères) ou bien de se sentir fatigué après le cours (souvent caractérisé par une altération du timbre de la voix parlée), il est affirmé que « c’est normal », que « cela disparaîtra avec le temps ».

 

Ces affirmations sont fausses et dangereuses à plus ou moins brève échéance. Les défauts s’acquièrent et s’ancrent particulièrement vite, devenant de véritables (mauvais) réflexes quasiment indélébiles si l’on ne réalise pas très rapidement que l’on est dans le mauvais chemin.

 

 

Concernant les semi professionnels et professionnels

 

L’acceptation de rôles ne convenant pas à sa voix (souvent sous l'incitation intéressée de l'entourage professionnel), la scène, le jeu de comédien sur une technique qui n’est pas totalement physiologique, sont des facteurs de perte de la voix, pour le moins, des qualités intrinsèques à chaque chanteur, et donc de brièveté d’une carrière à plus ou moins brève échéance.  Sans oublier le « mal-être » alors que chanter est un acte aussi naturel que parler, qui doit apporter le bonheur lorsque Dame Nature a donné un organe vocal qui s’y prête. 

 

Il doit être possible de chanter plusieurs heures de suite ou de reprendre un rôle complètement plusieurs fois d’affilé sans entraîner de fatigue qui, pour le moins, doit disparaître très rapidement.

 

Le chanteur professionnel est un athlète de la voix : ce qui ne signifie pas tonitruer à n’importe quel prix pour se prouver, par exemple, que l’on est chanteur d’opéra, si ses dispositions physiologiques l’orientent tout naturellement vers l’Opéra comique, voire l’Opérette ou bien encore, la mélodie.

 

Qui dit athlète, dit travail pour acquérir l’endurance. Le chanteur doit pouvoir tenir un concert ou un rôle autant de temps que nécessaire. Même si les contraintes professionnelles sont parfois très lourdes, le chanteur doit pouvoir assumer.

 

Faire des grimaces à outrance, véritables têtes à massacre, en venir à l'utilisation de produits donnant un coup de fouet musculairement pour se maintenir (telle la cortisone) ou à des "infiltrations d'huile dans la trachée pour assouplir ", ne sont que de mauvaises ficelles, des palliatifs qui n'auront d'effets qu'un temps, voire dangereux. C'est soigner le symptôme et non le terrain.

TOUT CHANTEUR DOIT COMMENCER PAR SE POSER
UN CERTAIN NOMBRE DE QUESTIONS 

COURS, MINI STAGES PRIVES, SOUTIEN

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